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  • L’Australie a rejeté un accord de libre-échange avec l’Union européenne

    L’Australie a rejeté un accord de libre-échange avec l’Union européenne, a annoncé Canberra lundi. L’accord aurait stimulé les exportations agricoles de l’Australie en supprimant les droits de douane de l’UE en échange d’un meilleur accès européen aux minéraux essentiels australiens. Mais certains agriculteurs locaux ont critiqué l’accord, arguant qu’il nuirait aux entreprises locales en ne laissant pas entrer suffisamment de produits australiens sur le continent.

    En 2022, l’Australie occupait la 18e place parmi les partenaires commerciaux de l’Union européenne pour les marchandises, tandis que l’UE était le troisième partenaire commercial de l’Australie, après la Chine et le Japon et devant les États-Unis. Le commerce combiné de marchandises s’est élevé à 56,4 milliards d’euros en 2022, ce qui a donné lieu à un excédent de l’UE de 20,6 milliards d’euros.

    Les principales exportations australiennes vers l’UE comprennent des produits agricoles, des minéraux, des métaux, des machines, du matériel de transport, ainsi que des services tels que l’éducation et le tourisme. En effet, les principales importations de l’UE vers l’Australie comprennent des machines, du matériel de transport, des produits chimiques, des produits manufacturés et des services liés aux voyages et aux transports.

  • La BRH annonce le décès de Jean-Claude Sanon, Ex-Gouverneur de la banque centrale haïtienne

    L’actuel gouverneur de la banque de la République d’Haïti, Ronald Gabriel a annoncé dimanche soir que l’ex-gouverneur de la banque centrale haïtienne était décédé jeudi 26 octobre aux États-Unis à l’âge de 82 ans.

    Dans un récent communiqué publié par la Banque de la République d’Haïti (BRH), c’est avec le cœur lourd que nous apprenons le décès de M. Jean-Claude Sanon, l’ex-gouverneur de la BRH, qui occupait ce poste entre juin 1985 à février 1986. Son mandat à la tête de la banque centrale d’Haïti a été marqué par des défis importants, car il s’est produit au cours d’une période charnière et turbulente précédant une profonde transformation du paysage sociopolitique du pays.

    Selon la note publiée par la BRH, pendant son mandat de gouverneur de la banque centrale d’Haïti, M. Sanon a fait preuve d’un dévouement sans faille et a utilisé ses prouesses intellectuelles exceptionnelles pour atténuer les effets néfastes d’événements économiques imprévus sur la stabilité macroéconomique et monétaire d’Haïti. Son leadership et sa clairvoyance ont joué un rôle déterminant dans le maintien de l’équilibre financier dans un environnement en évolution rapide.

    Avant d’exercer ses fonctions de gouverneur, il a été directeur de la monnaie et des affaires internationales, puis directeur général au sein du conseil d’administration de la BRH. Tout au long de son mandat, il s’est imposé comme un technocrate très influent, laissant une marque indélébile sur l’institution et le domaine de la politique monétaire en Haïti.

  • Le déclin économique d’Haïti : la conséquence du mépris évident de l’administration Ariel

    L’un des développements les plus surprenants de ces dernières années a été le mépris évident de l’administration Ariel pour les questions de sécurité et de violence des gangs, malgré le préjudice considérable que ces problèmes ont infligé aux activités économiques du pays. Malheureusement, nous avons été témoins des conséquences de cette approche au cours des quatre dernières années, puisque le PIB réel a diminué en moyenne de plus de 2 % par an.

    Selon les perspectives économiques de la Banque mondiale, la croissance mondiale devrait diminuer à 3,0 % en 2023, contre 3,5 % en 2022. Quant à Haïti, la Banque mondiale prévoit que l’économie haïtienne se contractera pour la cinquième année consécutive en 2023 avec un taux de croissance négatif de -1,5 %.

    Les organisations de défense des droits de l’homme et les rapports des Nations Unies soulignent les difficultés auxquelles sont confrontés le système judiciaire et la police haïtiens, notamment le besoin de ressources, de contrôles internes, de recrutement et de meilleures conditions de travail. Au lieu de prendre des mesures proactives, le gouvernement a adopté une approche passive pour justifier l’intervention étrangère, alors que l’influence des gangs continue de croître.

    À court terme, nous prévoyons que l’économie continuera de faire face à des défis dus à l’érosion du capital des ménages et des entreprises, ainsi qu’à l’entrave aux opérations normales posée par la menace constante des activités des gangs. Cet environnement a contribué à une hausse rapide et persistante de l’inflation, qui reste élevée, supérieure à 45 %.

    Malgré l’appauvrissement continu de la population haïtienne, il semble que les décideurs politiques restent relativement indifférents. Pendant ce temps, Haïti continue de faire face à la violence et à l’instabilité politique, laissant plus de la moitié de la population en difficulté pour accéder à la nourriture.

    En comparaison avec les pays de la région Amérique latine et caraïbe, Haïti devrait afficher les performances économiques les plus faibles. Alors que le taux de croissance moyen des pays de la région devrait être de 2,3 % en 2023, l’économie d’Haïti devrait connaître une croissance négative.

    La négligence de l’administration Ariel en matière de sécurité et de violence des gangs a provoqué un déclin soutenu du PIB d’Haïti, entraînant de grands défis économiques et sociaux, et une hausse démesurée de l’inflation. En outre, Haïti devrait connaître sa cinquième année consécutive de contraction économique, ce qui le distinguera de la croissance de la région de l’Amérique latine et des Caraïbes.

  • Rapport de la BRH sur les indicateurs financiers du système bancaire au 30 avril 2023

    La BRH dresse un bilan mitigé des indicateurs financiers du système bancaire, avec des évolutions des actifs, des dépôts, de la qualité du crédit et de la rentabilité. Le système bancaire a été confronté à des fluctuations des taux d’intérêt et à des changements dans la dollarisation de ses opérations. Voici les éléments clés des indicateurs financiers du système bancaire haïtien pour le premier semestre de l’exercice 2022-2023.

    1. Actifs du système : Les actifs du système ont diminué de 1,1% par rapport au trimestre précédent, atteignant 692,82 milliards de gourdes. Cette baisse a été attribuée à la réduction du portefeuille net, des bons du Trésor et des liquidités.

    2. Dépôts : Le total des dépôts dans le système bancaire a diminué de 1,3 % par rapport au 31 mars 2023. Cette baisse a été observée dans toutes les catégories, y compris les dépôts à vue, l’épargne et les contrats à terme.

    3. Taux d’intermédiation : Le taux d’intermédiation, mesuré par le ratio « prêts bruts sur dépôts totaux », est resté relativement stable à 29,2% en avril 2023.

    4. Revenu net : D’octobre 2022 à avril 2023, le système bancaire a généré un revenu net d’environ 23,94 milliards de gourdes, soit une augmentation annuelle de 2,2%. Cette croissance est attribuée à l’augmentation du revenu net provenant des intérêts et d’autres sources.

    5. Ratios de rentabilité : le rendement des actifs (ROA) et le rendement des capitaux propres (ROE) ont tous deux augmenté, reflétant une amélioration de la rentabilité. Le ROA est passé de 1,86 % l’année précédente à 2,56 % et le ROE est passé de 24,49 % à 35,89 %. Toutefois, le poids des capitaux propres dans l’actif est resté relativement stable.

    6. Qualité du crédit : La qualité du portefeuille de crédit s’est dégradée, avec une augmentation du coefficient des arriérés à 11,8% en avril 2023. Le ratio des « provisions pour créances douteuses en pourcentage des prêts non performants » a diminué à 57,01 %.

    7. Intermédiation financière : Le coût du crédit en gourdes a augmenté et le rendement des dépôts a diminué. Les taux d’intérêt moyens sur les prêts en gourde ont augmenté à 20,06%, tandis que les taux d’intérêt sur les dépôts ont diminué à 0,76%. Le crédit net en monnaie nationale a augmenté, tandis que le portefeuille de crédit net global a diminué.

    8. Ratios de dollarisation : L’appréciation de la gourde par rapport au dollar américain et l’évolution des dépôts et crédits en dollars ont entraîné une légère baisse des ratios de dollarisation du système. Les dépôts en devises en pourcentage du total des dépôts représentaient 72,32% en avril.

  • La performance économique du secteur réel Haïtien au troisième trimestre 2023

    La Note de la BRH sur la politique monétaire du 3e trimestre de l’exercice fiscal 2023 met en avant les points clés suivants sur le secteur réel de l’économie Haïtienne :

    1. Au troisième trimestre de l’exercice 2022-2023, on a constaté une légère amélioration du climat des affaires, notamment en avril et mai 2023, avec une amélioration de la sécurité et une disponibilité accrue des produits pétroliers. Cela a contribué à une tendance relativement positive de l’activité économique après une contraction de 2,9 % au premier semestre de l’exercice. Cependant, certaines régions restent confrontées à des difficultés d’approvisionnement du marché pour les activités commerciales et industrielles.

    2. L’emploi dans le secteur manufacturier de sous-traitance textile a diminué de 0,9 % en mai par rapport à mars 2023, atteignant son plus bas niveau depuis octobre 2025 à 43 280 postes.

    3. Dans le secteur agricole, malgré l’amélioration des précipitations en mai 2023, les récoltes ont été inférieures à la moyenne quinquennale en raison de pluies irrégulières entre janvier et avril 2023. Les inondations du mois de juin ont causé d’importants dégâts aux cultures dans plusieurs départements, affectant l’approvisionnement alimentaire national. Cela a conduit à une augmentation des importations alimentaires au cours de l’année fiscale.

    4. L’inflation en Haïti a ralenti, même si elle est restée à des niveaux très élevés. L’inflation annuelle est tombée à 43,9 % en juin, contre 48,3 % en mars 2023. Cette baisse de l’inflation était liée à une amélioration de la situation budgétaire, qui a eu des effets positifs sur le taux de change.

    Dans l’ensemble, la note indique un environnement économique mitigé avec des améliorations dans certains domaines, mais des défis persistants dans d’autres, notamment des perturbations de la chaîne d’approvisionnement et une inflation élevée.

  • BRH (Banque de la République d’Haïti) mise en œuvre des décisions de politique monétaire

    L’économie haïtienne, confrontée à des années de contraction et de troubles, est aux prises avec la violence, la détérioration du climat des affaires et la contraction monétaire. La banque centrale haïtienne, acteur économique incontournable, a cherché à intervenir par le biais de politiques monétaires.

    Selon la BRH, les données de juin 2023 indiquent une contraction de la base monétaire, tant au sens étroit que général, par rapport au trimestre précédent. Cela s’explique par une diminution de la monnaie centrale et des avoirs extérieurs nets, partiellement compensée par une augmentation des créances nettes de la BRH sur l’administration centrale. La masse monétaire (M3) a diminué de 6,71 % par rapport à mars 2023, portée par la baisse des dépôts en dollars, influencée par la contraction des transferts privés sans contrepartie et la baisse du taux de change. Le crédit intérieur net a légèrement augmenté, mais il n’a pas pu compenser la baisse des avoirs extérieurs nets du système bancaire. Les créances sur le secteur public ont augmenté, tandis que les crédits au secteur privé ont diminué dans un contexte de faiblesse des activités économiques.

    Voici quelques décisions monétaires clés de la BRH du troisième trimestre 2023.

    1. Taux de change et prix à la consommation : La BRH visait à contenir la volatilité du taux de change et son impact sur les prix à la consommation tout en évitant des conditions de financement trop strictes pour l’économie. Les taux d’intérêt directeurs et les coefficients de réserves obligatoires sont restés inchangés. Les taux de réserve obligatoires pour les banques commerciales et les caisses d’épargne et de logement ont été maintenus à leurs niveaux d’août 2022. Les taux d’intérêt des obligations BRH sont également restés inchangés.

    2. Gestion des liquidités : La BRH a poursuivi sa politique de récupération des liquidités inutilisées à travers l’émission d’obligations de la BRH et des interventions sur le marché des changes. L’encours des obligations BRH a augmenté, reflétant une diminution des souscriptions des banques commerciales aux certificats de trésorerie.

    3. Réserves de change : les interventions de la BRH sur le marché des changes ont donné lieu à des achats nets d’environ 51,99 millions de dollars américains. Ces opérations visaient à renforcer les réserves nettes de change et ont été facilitées par la réduction des tensions sur le marché des changes, qui s’est accompagnée d’un ralentissement de l’activité économique et d’une diminution du financement monétaire.

    4. Épargne en monnaie nationale : L’émission des obligations BRH a continué à encourager l’épargne en monnaie nationale, avec un encours de 7 003,6 millions de gourdes au 9 juin 2023.

    5. Mesures pour les débiteurs : La BRH a mis en œuvre des mesures par le biais de la Circulaire 115-3 pour faire face aux impacts de la détérioration du climat des affaires sur les entreprises endettées auprès du système financier. Ces mesures comprenaient un moratoire sur le remboursement du capital et une restructuration des prêts pour les prêts non performants à compter du 31 mars 2023.

    En résumé, la politique monétaire de la BRH au troisième trimestre 2023 visait à stabiliser le taux de change et à gérer la liquidité tout en relevant les défis économiques posés par la détérioration du climat des affaires. Les agrégats monétaires ont indiqué une contraction de la base monétaire et de la masse monétaire en raison de divers facteurs économiques.

  • Le Conseil des Ministres approuve le budget 2023-2024

    Le Conseil des Ministres a approuvé, le jeudi 28 septembre, le budget 2023-2024. Il sera en application à partir du 1er octobre 2023, selon les prescrits légaux, ce qui ne s’était pas produit depuis l’exercice 2020-2021.

    Le budget 2023-2024 reflète les grandes orientations contenues dans la lettre de cadrage du Premier Ministre transmise aux ordonnateurs, le 2 août dernier, et s’inscrit dans la continuité des efforts initiés depuis l’année dernière pour l’élaboration du deuxième cadre budgétaire à moyen terme 2023-2026.

    Le budget 2023-2024 est élaboré autour de 3 priorités : Renouer avec la croissance économique, améliorer la stabilité sociale, améliorer les conditions sécuritaires.

    L’enveloppe globale du budget pour l’exercice fiscal 2023-2024 se chiffre à 320.64 milliards de gourdes dont 75.3 proviennent des ressources domestiques ;
    Les dépenses projetées hors amortissement de la dette sont de l’ordre de 283.21 milliards de gourdes, soit une hausse de 19.51% par rapport au budget antérieur ; 50.6% des dépenses seront consacrées à la gestion des affaires courantes ;
    Les dépenses d’investissements publics dans le budget de l’exercice fiscal 2023-2024 s’estiment à 158.41 milliards de gourdes et seront financées à hauteur de 28.8% par le Trésor public (33.92milliards gourdes), 68.5% par des dons et emprunts (77.2 milliards de gourdes). Les immobilisation corporelles et incorporelles sont projetées à 2.7% des dépenses de capital.

    Les hypothèses de base des projections de 2024 s’appuient essentiellement sur le renforcement du climat de sécurité, la construction d’infrastructures résilientes identifiées dans le PRIPS (Plan de relèvement intégré de la péninsule sud), la stabilité du taux de change et la disponibilité des produits pétroliers à la pompe.

    -Fin-

    Ministère de la Culture et de la Communication Haïti

  • Défis du secteur extérieur, appréciation de la monnaie et efforts de stabilisation budgétaire

    La Note de la BRH relative à la politique monétaire pour le 3ème trimestre de l’exercice 2023 met en évidence les défis du secteur extérieur, une baisse des transferts privés, une appréciation de la monnaie nationale et les efforts en cours pour stabiliser les finances publiques.

    Les données indiquent une détérioration de la balance commerciale et une réduction des transferts privés sans contrepartie. Malgré une baisse des importations, le déficit commercial a augmenté de 2,52%, atteignant 3,02 milliards de dollars au cours des 10 premiers mois de l’année fiscale. Les exportations ont diminué de 25,3 % par rapport à l’année précédente, totalisant 782,02 millions de dollars. Les importations ont été évaluées à 3 805,7 millions de dollars, en baisse de 4,76% sur un an, à l’exception des produits alimentaires qui ont connu une croissance de 54,21%.

    Les transferts privés sans contrepartie ont continué de diminuer au cours du trimestre, avec une baisse de 6,59 %, totalisant 2 749,91 millions de dollars sur les 9 premiers mois de l’exercice financier. Cette baisse est attribuée à l’inflation, au manque d’activité économique dans certains pays d’origine et aux mouvements migratoires dus aux problèmes de sécurité en Haïti.

    Malgré la baisse des transferts privés, la monnaie nationale s’est appréciée par rapport au dollar américain au cours du troisième trimestre. Le taux de change de référence est passé de 153,60 gourdes en mars 2023 à 137,72 gourdes en juin 2023, soit une baisse de 10%. Cette amélioration est liée à la baisse de la demande de devises due au ralentissement de l’activité économique et à l’évolution positive des finances publiques.

    Les efforts de consolidation de la situation financière de l’État se sont poursuivis, malgré une baisse des recettes. Les revenus perçus au cours du trimestre se sont élevés à 46,233 millions de gourdes, soit une baisse de 8,5% par rapport au trimestre précédent. Les décaissements ont légèrement augmenté, pour atteindre 77,226,6 millions de gourdes, dont 35,876,9 millions de gourdes de dépenses budgétaires. Toutefois, les recettes perçues sur l’ensemble de l’année fiscale représentaient 52,1% du total des ressources disponibles.

    Les opérations budgétaires et de trésorerie ont donné lieu à un financement de la Banque Centrale de 8,324,55 millions de Gourdes au 30 juin 2023, témoignant d’évolutions par rapport aux trimestres précédents.

  • Will Vivek rise to the rank of a new Abraham Lincoln for Haiti?

    Meanwhile, Haiti has been occupied by the U.N. under U.S. leadership since the return of President Aristide in 1994… Since then, Haiti’s puppet politicians and oligarchs have prospered, profiting from Washington’s neo-colonial policy, which enables them to destroy the island’s institutions and elevate themselves above the law.

    Will Vivek reverse Washington’s racist, neo-colonial policy towards Haiti? Or will he continue to humiliate Haitian immigrants, ignoring the fact that they represent the disastrous consequences of an American policy that supports crooks, incompetents, and slave-minded politicians with the sole aim of keeping Haiti under American domination?

    Will Vivek be able to defend the 10 million miserable people who have suffered for generations from the American policy that continues to encourage Haiti’s elites to destroy our local agriculture, dismantle our national army, drain our best brains, and convert Haiti into a neo-colonial state where the economy serves only consumption and the laundering of dirty money?

    Will Vivek be able to ask the “NO STOP” humanitarian business guys in Washington where American taxpayers’ money goes in Haiti and what the results are on the ground? Who has benefited from American aid to the Haitian people? Will he treat Haiti with respect, empathy, and consideration like Ukraine, Taiwan, or Israel? Will it support a patriotic agenda from a new generation of Haitian elites?

    Will Vivek step up sanctions and prosecute the criminals among Haiti’s elites? Or will he let them profit from the lobby, Florida’s banking system, and real estate market and continue to support them as loyal geopolitical tools to control a nation and turn it into a chaotic mess less than 2 hours from Florida, simply because the people are black?

    Will Vivek continue this practice of diplomatic intimidation to force Haiti to maintain relations with Taiwan while the island remains poor and underdeveloped since neither the U.S. nor Taiwan has shown a willingness to fund Haiti’s economic development, as China’s proposals have? Will Vivek support the old-guard politicians in Haiti, as they all have skeletons in the closet, making them vulnerable to manipulation and blackmail?

    Is Vivek another “nice talker” like Obama towards Haiti, pretending to help Haiti when he knew that over 70% of U.S. aid would go back to Washington after the 2010 earthquake? Will Vivek put an end to this practice of international corruption? Will Vivek be the new Abraham Lincoln for Haiti? Will he put an end to the isolationist strategy of contentment and humanitarian business, this anti-sustainable development policy, and replace it with win-win cooperation, TRUE neighborly support?

    Will Vivek support the rise of millennial leadership in Haiti instead of the outdated status quo, implement a new patriotic agenda, and positively transform Haiti and make the island BEAUTIFUL, TRUE, and GREAT again?

  • Le PIB des États-Unis a augmenté de 2,1 % au cours du deuxième trimestre.

    Le produit intérieur brut (PIB) réel des États-Unis a augmenté à un taux annuel de 2,1 % au deuxième trimestre 2023, en légère hausse par rapport aux 2,0 % du premier trimestre, selon l’estimation la plus récente publiée par le Bureau of Economic Analysis (BEA) le mercredi.

    L’estimation du PIB publiée aujourd’hui est basée sur des données sources plus complètes que celles disponibles pour l’estimation « anticipée » publiée le mois dernier. Dans l’estimation préliminaire, l’augmentation du PIB réel était de 2,4 %.

    Par rapport au premier trimestre, l’accélération du PIB réel au deuxième trimestre reflète principalement une baisse moins marquée des investissements en stocks privés et une accélération des investissements fixes non résidentiels. Ces mouvements ont été en partie compensés par un ralentissement des exportations et une décélération des dépenses de consommation et des dépenses du gouvernement fédéral. Les importations, qui sont soustraites du calcul du PIB, ont également connu une diminution.

    Le PIB en dollars courants a augmenté de 4,1 % en rythme annuel, soit 268,6 milliards de dollars, au deuxième trimestre pour atteindre 26,80 milliards de dollars, soit une révision à la baisse de 36,3 milliards de dollars par rapport à l’estimation précédente.

    L’indice des prix des achats intérieurs bruts a augmenté de 1,7 pour cent au deuxième trimestre, soit une révision à la baisse de 0,2 point de pourcentage par rapport à l’estimation précédente. L’indice des prix des dépenses de consommation personnelle (PCE) a augmenté de 2,5 pour cent, soit une révision à la baisse de 0,1 point de pourcentage. Hors prix des produits alimentaires et de l’énergie, l’indice des prix PCE a augmenté de 3,7 pour cent, soit une révision à la baisse de 0,1 point de pourcentage.

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